L’Islam wahabite est assimilable à une arme de destruction massive
Par Salem BENAMMAR
A ceux qui s’offusquent et s’enflamment quand leur religion parait offensée, je suggère de faire preuve d’une même vigueur pour défendre l’honneur de leur patrie, parce qu’il y va de leur propre pérennité humaine contre l’instrumentalisation de leur religion à des fins impériales et politiques.
C’est le comportement de fanatiques haineux, racistes, ignominieux, suffisants, méprisants et nombrilistes qui nourrit les peurs de l’Islam, et jette le discrédit sur ceux qui
gardent un silence complice, et montrent leur peu d’entrain à défendre les valeurs humaines, comme on a pu l’observer lors de l’affaire Mohamed Merah.
La représentation qu’ils véhiculent de l’islam suscite notre rejet
La question n’est pas de savoir s’il s’agit de l’islam dévoyé et dénaturé par les siens. Le constat que l’on fait tous est que la représentation qu’ils véhiculent de l’islam suscite notre rejet de cette religion.
Qu’ils donnent une image humaine et apaisée de leur religion, et personne n’éprouvera de phobie de l’islam. Mais tant qu’ils continuent à répandre la violence et la terreur au nom de leur religion, ils ne doivent s’en prendre à eux-mêmes s’ils font de leur religion le cauchemar de l’humanité.
Les activistes musulmans sont nécrophiles, profanateurs
Ceux que l’on considère comme islamophobes sont surtout atteints par le climat apocalyptique que font régner les activistes musulmans qui, au lieu de rassurer le monde sur leur religion, lui donnent un contenu dogmatique absurde, insensé, suranné, bestial et irrespectueux de la vie humaine. Violeur, belliqueux, immoral, légitimant la pédophile dès l’âge de 3 ans, voire zoophile tel ce saoudien tué par son âne qu’il avait tenté de violer, les activistes musulmans sont aussi nécrophiles, profanateurs, inquisiteurs et génocidaires.
Le législateur lui-même semble aussi souffrir d’une déficience mentale et d’un manque flagrant de discernement, en voulant assimiler la phobie de l’islam à un délit de droit commun.
Lutte contre la propagation du fléau épidémiologique du virus islamiste
Il sait que l’islamophobie est un néologisme, un non-sens. Il préfère apporter une réponse pénale à ce qui ne relève non pas de la psychiatrie mais de la prévention, en renforçant les moyens de lutte contre la propagation du fléau épidémiologique du virus islamiste.
Il s’agit d’une question de santé mentale des citoyens devenus de plus en plus allergiques et réfractaires à l’Islam dans sa version fondamentaliste, dont les pouvoirs publics occidentaux sont de surcroît les meilleurs alliés, et paradoxalement les agents de promotion et d’instigation, comme en Syrie, en Tunisie, en Égypte, allant jusqu’à favoriser son implantation dans leurs propres cités-ghettos à dominante musulmane, par pur calcul vénal, et au mépris du bien-être psychique de leurs citoyens.
Le crime n’est pas dans les symptômes qui se manifestent chez la population atteinte de la phobie de l’Islam, il est dans la banalisation du fléau viral wahhabite qui mine les fondements des sociétés occidentales.
Seule l’éradication de ce virus létal pour notre humanité est le remède à tous les maux dont souffre aujourd’hui la majeure partie de la population mondiale.
La destruction de l’islam, dans sa configuration wahhabite, doit être inscrit au chapitre des priorités de sauvegarde de l’humanité, sinon il réussira là où le nazisme et le bolchevisme ont échoué, et ironie du sort, avec l’aide de l’occident, supposé ennemi de l’obscurantisme et du totalitarisme. Mais les scrupules moraux et le bien-être des populations malades de l’Islam wahhabisé ne sont pas de mise, quand il s’agit de satisfaire les seuls intérêts du capital islamiste.
Les stratèges occidentaux ont beau élaborer des scénarios et faire des simulations, ils oublient que la politique n’est pas une science exacte. Ils ne tiennent compte ni de la réaction des populations, qui trouvent toujours des ressources dans leur désespoir, ni des forces de la communauté internationale, peu inclinées à laisser le soin aux wahhabites et leurs marionnettistes occidentaux leur imposer un diktat dont le but est d’inféoder le monde entier.
Salem Benammar