Une renégate vilipendée par tous les marocains, la rejetant sans rémission tellement qu’on y lit dans sa pensée une inimitié haineuse pourvue de ragoûts même envers les siens. D’ailleurs dans son soi-disant bras de fer insidieusement fabriqué, elle s’était montrée à la fois radoteuse et ragoteuse à même de dire des choses pathétiques sans savoir pourquoi elle les balançait. Au point qu’au bout de son plan soupçonneux, c’est sa mégalomanie prenant un mimétisme qui ressemblait à de la pitié méritée, faisant en plus celle qui n’a jamais péché mais jetant la première médisance. Que par ailleurs elle a confirmé, en se faisant l’hôte inappropriée de Kerry la fille de Robert Kenedy venue à la tete d’une délégation de la fondation pour la justice et les droits de l’homme visiter Laayoun, alors qu’elle est sensée se comporter en neutre.
Ce à quoi, nous marocains et marocaines, nous devons faire attention à ces danses Tango à la Djongo déjà essayées par Christopher Ross envers l’Algérie à nos dépens, croyant pouvoir nous ébahir voir nous divertir. Pourtant que de difficultés s’était-il créées en pensant atteindre les frontières du royaume, tellement que BAN KI MOON le secrétaire général de l’ONU s’en était soucié voire inquiété, réitérant de vive voix son soutien au Roi Mohamed VI à propos de l’engagement et du respect strict du Maroc à la charte onusienne dans tous les domaines et invoquant la neutralité absolue que doit respecter son prochain envoyé et représentant dans la région. Sauf que cette délégation s’apperçevant de la température montée par l’excitation du peuple et des associations en franchissant ces lignes rouges, a essayé de rétrecir cette distance par des rencontres limitées en nombre pour se repositionner en fausse neutralité. Se mettant dans la danse à fond espérant s’en sortir de l’imbroglio où elle est devenue atrocement malheureuse en se responsabilisant ainsi.
Certes au départ, l’entêtement d’Aminatou, était une écume objet de curiosité, vu qu’elle se complaisait dans la critique systématique non fondée. Puis voyant que ça ne prenait pas, le sol se dérobant sous ses pieds, elle avait cherché à se pelotonner autour de suspicions dédaigneuses à l’égard de son propre pays. Rappelons-nous de son subterfuge de grève de la faim, qui était dicté de l’extérieur par des fabricants professionnels de l’émotion dispendieuse. Beaucoup de foin médiatique pour un non événement, surtout de la part des gouvernants algériens et des partisans de la droite populaire espagnole qui du reste est actuellement aux affaires, ayant commencé à changer d’avis sur cette supercherie. Tous ces gens préféraient la voir courir des dangers, la poussant de ne pas renoncer pour éviter qu’elle rentre dans la perspective de ralliement par l’abandon des discours illégitimes non viables et inadaptés à la réalité sur le territoire national. D’ailleurs c’est ce qu’ils font tout le temps des jeunes sahraouis non tenus en main, les manipulant à coups de liasses, pour donner des images affolantes brusquement réapparaissant comme à Dakhla lors du fameux match de foot de l’équipe locale contre Chabab Mohammedia.
Finalement elle ne voulait aucunement se sauver d’elle-même, car la pauvre croyait en s’attachant à ce rôle mal joué, qu’elle accomplissait l’action de sa vie sur ce que sous entend sa démarche perverse. De toute façon c’est au moyen de l’une des grandes idées que le Maroc ait proposées pour y monter une structure d’autonomie de gestion afin de clore définitivement ce dossier, en l’occurrence la régionalisation avancée, qu’elle pourrait participer comme bon lui semblera à la vie publique. Il s’agit certes d’une proposition d’outils d’action organisationnelle par nécessité méthodologique d’intervention spécifiée de production et d’autogestion sous l’égide du royaume. Mais alors, pourquoi tous ces semblables par ailleurs peu nombreux, au lieu de s’assagir continuent à voir cette proposition comme quelque chose de suspect? Pourtant l’occasion était si parfaite et demeure toujours d’actualité, vu que tout le monde dans toutes les instances internationales s’y laissait convaincre.
Et bien, elle ne pourrait pas être plus heureuse que le jour où elle fera son repentir, toute excitée d’oublier ses turpitudes en retrouvant sa raison. A ce moment, elle comprendrait qu’apparemment ses illusions avaient été si trompeuses et que son désarroi n’était que doute inapproprié d’elle-même. Ainsi elle rouvrirait les yeux longtemps révulsés par les effets psychotropes de la propagande, pour ne plus être emballée de la sorte. Il ne lui reste alors que calquer son attitude sur celle des revenants à la mère patrie, brisant la carapace de la détresse qu’ils portaient et du mensonge dont ils s’entouraient. Aussi pas une seule fois elle ne se sentirait inquiétée d’une quelconque poursuite où d’une maltraitance, contrairement à ce qu’elle pourrait endurer ailleurs dans les camps de la honte. Le calvaire vécu par Mustapha Salma ould Mouloud dans les géoles du Polisario, est un témoignage consistant sur les secrets de torture et les privations qui font dégats. Dont les défenseurs nationnaux des libertés et des droits ne cessent de conscientiser la jeunesse sur ce malheureux épisode de l’histoire en lui glissant surepticement des messages de vigilance. A bon entendeur salut!